Le Petit Cephalophore

dimanche, mai 29, 2011

Confirmations et première communion à Saint-Denys

Monseigneur Eric de Moulins-Beaufort a confirmé en ce beau dimanche presque estival trente-un enfants du CM2. L'un d'eux, Ugo, recevait aussi le Corps de Jésus pour la première fois.

Esprit de vérité, passe dans nos coeurs !
et viens embraser : 
Mathilde, Paul, Nicolas, William, Timothée, Maxime, Raphaël, Calixte, Charles, Ariste, Basile, Camille, Luna, Louison, les deux Jean-Baptiste, Luc, Vianney, Bastien, Louise, Nils, Dylan, Victor, les deux Arthur, Clara, Christe, Pamela, Tom, Ugo, Alice.


mardi, mai 24, 2011

Nomades 2011 en images

Retrouvez une sélection de quelques images de ces deux journées de découvertes et de rencontres :



Un grand bravo à tous les volontaires qui se sont engagés pour faire de cette troisième édition de Nomades à Saint-Denys une réussite et un témoignage de l'accueil et de la diversité de notre paroisse.


Expositions dans l’église :
• Peintures de Jean-Sébastien de Halleux
• Sculptures sur pierre de Bernard Citroën
• Grande structure mobile de Jacques Jarrige
• Photos d’Alfredo Salazar

Musique sur le parvis :
• Jazz New-Orléans avec « Les oignons »
• Chorale congolaise « Les semeurs »
• Une voix, une guitare avec Emmanuel Jarrige

Théâtre :
Pourquoi j’ai mangé mon père, mis en scène et interprété par Damien Ricour adapté du best-seller de Roy Lewis.

Alerte Banque alimentaire

Songez-y en faisant vos courses !


Conserves en tous genres : légumes, plats cuisinés, poissons (thon, sardines), raviolis, etc...
mais encore des pâtes, du riz, des biscuits, du lait concentré sucré...

A apporter comme d'habitude à la sortie des messes le dimanche ou en semaine, ou encore aux heures d'ouverture de l'église. (cf. site paroissial dans rubrique Liens)

mardi, mai 10, 2011

Spécial Nomades, 3ème saison

L'éditorial du père Quinson

Matriochkas ? Poupées russes ?


Vous connaissez les matriochkas ? Non ? Et les poupées russes ? Oui ! Eh bien c’est la même chose ! Ces petites poupées gigognes en bois peint qui ne se laissent découvrir que si vous ouvrez la première, puis la deuxième, le troisième, etc.…

Il en va de même ici :
Première étape, le parvis : animation musicale, buvette, parasols de couleurs et – nous l’espérons – accueil chaleureux, sont une première rencontre. Bienvenue à Saint-Denys du Saint-Sacrement pour ce festival NOMADES, troisième édition ! Cette initiative de la mairie du 3ème arrondissement a pour but de faire découvrir et de promouvoir le patrimoine artistique et culturel de notre quartier. Le thème retenu cette année est « aux sources de la création ». Merci de nous faire l’amitié de passer un moment en notre compagnie. Attention, le parvis n’est qu’une étape : il annonce d’autres gourmandises qui se savourent à l’intérieur…
Pour les découvrir - deuxième étape - il vous faudra franchir le porche de l’église : des artistes contemporains et leurs œuvres vous attendent, pour regarder, écouter, rencontrer… Vous aurez aussi la possibilité de visiter l’église (achevée en 1835) qui est connue pour la pietà peinte par Eugène Delacroix. Rencontre avec « la création artistique ».
Une autre porte peut encore être franchie. Troisième étape. Elle est étroite, plus cachée. Certains, hélas, la cherchent longtemps… D’autre repartent pensant ne jamais la trouver… Elle donne accès à un lieu plus intime. Appelons le : cœur, âme, foi, prière… Ici, l’image de la poupée russe atteint ses limites… Il s’agit plutôt de faire l’expérience intérieure d’une ouverture à plus grand que soi. « Création » devient l’écho de « Créateur »…
Enfin, une ultime étape existe. Elle suppose d’avoir franchi la troisième. C’est une fraternité particulière. Une fraternité fondée en Dieu, à laquelle le Christ donne sa plénitude. Elle ouvre à une communion universelle où l’Homme découvre enfin qui il est. Nous sommes « re-créés » pour devenir frères et sœurs les uns des autres.
Alors bienvenue et bonne recréation !
Paul Quinson, curé de la paroisse


Comment est-ce que je vis ma foi ?
Témoignages de quatre paroissiens


Témoignage de Jacqueline, 90 ans, arrière-grand-mère de vingt-deux arrières-petits-enfants, auteur :
Foi, Espérance, Charité ! Au catéchisme de mon enfance, on n’osait séparer ces « trois vertus théologales », citées (je le remarque maintenant) dans l’ordre inverse de celui de l’alphabet. Est-ce à dire que la Foi est la plus importante ?
Demandons à un inconnu ce qu’est la charité. Il tiendra peut-être un discours sur l’humanitaire. Saurai-je- lui expliquer en quoi la « Charité » selon le christianisme a d’autres caractéristiques que la B A des Louveteaux, le secours apporté au SDF couchant sous les ponts par grand froid, au passager clandestin sur une embarcation surchargée, ou au bébé abandonné ?…
Avec Matthieu, faisons l’aumône en secret : « Que ta main droite ignore ce que fait ta main gauche ! »…L’aumône de notre écoute, de notre patience, de notre tolérance peut-être ?
L’Espérance ? Le chrétien la distingue de « l’espoir » tout humain, de la superstition des naïfs, de la crédulité devant le discours habile d’un gourou envoûtant.
Mais « La Foi » ?... du mot fides selon le dictionnaire :  Foi, Confiance, Loyauté.
Qu’est-ce que la Foi, pour le chrétien ? Ai-je la Foi ?  Je me vois saisie par le doute. Que d’hésitations, combien de périodes de scepticisme, voire d’athéisme au cours de ma vie !
Par obéissance à ce que m’avait inculqué ma famille (catholique à la manière du XIXe siècle) et mes aumôniers traditionnels, j’ai respecté (à peu près !) des coutumes pieuses : messe dominicale, maigre du vendredi, confession et communion au moins une fois l’an.
S’agissait-il d’un soupçon de foi ? Ne s’agissait-il pas plutôt de conformité à des habitudes, copies de celles que j’avais constatées autour de moi…  Et peur « puérile » de l’Enfer ?
J’étais loin de la réponse du Seigneur citée par Luc «  Si vous aviez de la foi gros comme un grain de sénevé, vous auriez dit au mûrier "Va te planter dans la mer" et il vous aurait obéi ».
Est-ce parler de « ma foi », que de passer par ce constat : je n’aime pas le mot « hasard », alors que je m’y trouve si souvent confrontée : rencontres étranges, conversations inattendues, lectures éclairantes, certitude d’avoir, dans des circonstances pénibles, été protégée... Petits miracles que je recueille …  Et puis, je redoute un peu moins l’approche, inéluctable, de la mort.
Me revient en mémoire une anecdote qui a sa place dans mon cheminement.
Une cousine, contemporaine de ma mère, était profondément chrétienne. Ses épreuves étaient innombrables, son courage et sa sérénité exemplaires. Je lui avais confié : « Un jour, j’aurai six personnes à soigner. Et je ne suis pas de taille … » ! Elle m’avait répondu simplement : « Tu n’auras pas à le faire ».  Il en fut ainsi, en effet !
Est-ce là que se situe « ma foi » : plus près de l’accueil des menus ( ! ) cadeaux du quotidien que des grandes méditations devant le Saint Sacrement  ? Et, ô paradoxe, plus près de l’aveu de Jérémie : "Tu m’as séduit, Yahvé, et je me suis laissé séduire !"

Témoignage de Vincent, analyste crédit :
D’un milieu familial athée, je ne suis pas baptisé. C’est la préparation au mariage, que je suis avec ma future épouse, qui m’a donné l’occasion de questionner mon rapport à Dieu. Je suis d’ailleurs toujours dans un état de doute raisonnable. Je ne parviens pas à concilier le paradoxe de son Existence avec les malheurs du monde. Même s’il y a la liberté donnée à l’homme, jusqu’où va cette liberté ?
Mais, pour approfondir la question, on ne peut rester à l’écart d’une communauté de croyants. Il faut “aller à l’église“ pour poser plus précisément les questionnements, avoir des réponses. Je me suis surtout rendu compte de l’importance, à la messe, des lectures des textes, et de leur commentaire. Des rencontres, aussi, avec des paroissiens, et avec le père Paul, qui nous a accueillis dans un esprit de dialogue ouvert et chaleureux qui me touche.
Je vais donc poursuivre mon interrogation, en continuant d’aller à la messe le dimanche, y compris après notre mariage “à l’église“, qui est une façon pour nous de mettre en phase nos questionnements, et de nous rapprocher de l’Église en tant que manifestation du phénomène religieux, intermédiaire avec Dieu.


Témoignage de Greg Zlap, chanteur harmoniciste :

J’ai grandi en Pologne dans une famille catholique. Aller à l’Eglise signifiait ne pas se soumettre au régime communiste. Mais moi je n’étais alors qu’un enfant. A 14 ans, on m’a offert un harmonica et j’ai découvert, en écoutant du blues, les sons incroyables que l’on pouvait sortir de cet instrument. Cela m’a fasciné. Le blues parle de la vie, de la mort, de l’amour, en laissant s’exprimer cette dimension « soul » qui n’est autre que l’âme. Je suis devenu musicien de blues et je compose. Je ne sépare pas la musique de la foi. Toutes deux sont un langage du cœur. La musique réunit les gens comme la foi. C’est une communion. Et puis spirituel veut dire « souffle » et j’ai choisi l’harmonica, le seul instrument à vent qui se joue en respirant (en non en soufflant) ! Je travaille depuis un an sur Air, un album qui vient de sortir sur le thème du souffle justement. Tous les grands musiciens un jour ou l’autre rencontrent Dieu. John Coltrane ne disait-il pas que la musique l’amenait au-delà de la terre ? 
Site : www.gregzlap.com


Témoignage de Marie, aide soignante :
Pour Marie, aide soignante de personnes âgées, membre de notre conseil pastoral et responsable Macadam café (une association qui offre le "café" aux sans-abris lors de tournées nocturnes), la foi "c’est d'abord la confiance en quelqu'un qu'on ne voit pas". Dans son parcours sinueux entre le Cap Vert natal, le Sénégal et plus tard la France, Marie fait l'expérience de la Providence qui nous précède sur nos chemins. "A 3 mois,  j'ai été confiée à ma grand mère. Elle m'a offert la sagesse et la protection au quotidien, jusqu'à sa mort, à mes 15 ans." C'est avec elle que Marie a découvert le goût de la prière. Cependant pour recevoir le baptême, à 12 ans, il lui faudra montrer de la persévérance dans un contexte familial divisé à ce sujet. A 19 ans, Marie arrive en France. Elle s'étonne de rencontrer si peu d'audace à dire sa foi. Elle travaille auprès des personnes fragiles (malades, âgés, handicapés, enfants) et répond à plusieurs appels d'engagement dans l'église. Mais c'est grâce à l'année sabbatique "Un an pour Dieu à Paris" que la vie de foi et de charité a pris chez Marie tout son essor. "J'étais une des premières à avoir été choisie pour vivre cette expérience passionnante et très formatrice, proposée par le cardinal Lustiger. L'exigence de prière, de lecture régulière de l'Ecriture Sainte, du travail auprès des personnes dans le grand besoin, aux côtés des sœurs de Mère Teresa et de l'Ordre de Malte, m'a permis de saisir enfin ma vie de laïque engagée comme une vraie vocation."

dimanche, mai 01, 2011

Pélerinage en Terre Sainte

Sans attendre notre soirée du 9 mai qui nous permettra de nous retrouver lors d'un moment amical pour partager les photos des uns et des autres montées en diaporama, voici les photos en ligne.
Les paroissiens sont tous bien évidemment conviés à la soirée du lundi 9 mai (à partir de 20h30).


                     et    NOUVEAU DIAPORAMA (lien 6) ==>  CLIQUER ICI
PREMIER DIAPORAMA :


Vous pouvez continuer à compléter vous aussi la "banque d'images" avec vos propres sélections. Pour cela, si vous ne disposez pas déjà d'un compte dans PICASA vous pouvez en quelques clics, télécharger ce logiciel qui permet à la fois de classer vos photos et les modifier sur votre micro, puis ensuite vous créer un compte dans PICASA sur Internet, et enfin transférer vos photos en quelques minutes en ouvrant l'accès libre à l'album, tout ceci gratuitement. Merci ensuite de copier le lien vers votre propre album (cf. la fonction sur la droite de l'écran de votre album en ligne) et de l'adresser au mail de la rédaction du Petit Céphalophore qui complètera la liste des liens sur ce blog.)

Les reporters du Petit Céphalophore.

Les notes de pèlerinage de Patricia

Un grand merci à Patricia qui a bien voulu retranscrire quelques-unes de ses notes manuscrites. Pour les paresseux qui avaient délaissé le crayon, c'est le seul moyen de se remémorer cette précieuse catéchèse. 


Jeudi 7 avril, 
messe à ARAD face au désert.
Irruption de la Parole de Dieu dans l'humanité, Dieu est Amour.

Vendredi 8 avril
BEERSHEVA
Gn 21, 22-32 : notion de l'alliance où Abraham a séjourné (le puits). Abraham (1850 av J.C), origine du peuple juif,milieu humain choisi par Dieu. Gn 12: Dieu dit à Abraham de partir avec tout ce qu'il a, nomadisme, mise en route, question d'une terre, d'une descendance, d'une bénédiction et universelle (les nations). Par le Christ accomplissement de cette bénédiction. Abraham qui fait passer sa femme pour sa soeur et qui s'enrichit.
Gn 20 : Dans la Bible, Dieu purifie son peuple, le don de Dieu est premier ensuite vient la loi.
Jean-Paul II: "Le peuple juif est un laboratoire d'expérience de fraternité". 1er récit de relation fraternelle : Caïn et Abel. Dieu veut apprendre à son peuple à maîtriser sa violence. Le pardon est le seul dynamisme pour la paix.
Jean-Paul II : "Pas de paix sans justice, de justice sans pardon". Dieu s'est constitué un peuple. Les 12 tribus pour apprendre la fraternité. Episode de Judas qui prend la place de Benjamin (en Egypte quand Joseph veut garder en otage Benjamin lors du retour de ses frères auprès de leur père en Gn 44,18-34).
Fraternité dans l'Evangile: Marie-Madeleine au tombeau, le Christ lui-même appelle ses apôtres frères, Il ne rougit pas à nous appeler ses frères. Dans Concile Vatican II, la hiérarchie de l'Eglise est d'abord le peuple de Dieu.
Exode, passer de la famille au peuple.
Autel de Beersheva: Jacob fait des sacrifices Gn 46. Gn 26, Isaac, le puits, Dieu qui intervient dans la vie.
AVDAT
Ville des Nabatéens fondée par eux. Lutte de Jacob contre l'ange, lutte symbolique, lutte de Jacob contre l' angoisse de la vengeance de son frère Esaüe.
Désert de Zin, l'Exode.
Moïse dans Ex. libérateur, rendre un culte à Dieu, service à Dieu. Dès l'origine, la libération est l'évènement historique et acte de culte chez les juifs avant l'Exode, le pain azyme chapitre 13 Ex.
EIN AVDAT : source dans le désert de Zin.
Ex. 4 : vocation de Moïse . Ex. 4, 22 : "...mon fils premier-né, c'est Israël...".
1ère référence dans l'histoire d'Israël.
C'est la loi après l'épreuve de la soif.
Ex.16: ingratitude du peuple vers Dieu, la manne, commandement du shabbat, Dieu, père, éducateur, relation de confiance, nourriture qui force l'homme à être dans le rapport de foi.
Shabbat: respect du jour de repos, l'homme a besoin de commandement.
Décalogue: code de l'alliance donné à Moïse et approuvé par le peuple.
Moïse construit un autel pour faire descendre Dieu, pour être présent à l'alliance conclue, avec le sang versé, obéir à Dieu c'est servir Dieu, devenir comme Dieu, rentrer dans la sainteté de Dieu.
La Loi est un joug bienfaisant pour le peuple d'Israël.

Samedi 9 avril
messe face au désert de Judée
Catéchèse à la source de David
Ex. loi donnée à Moïse.
La loi est donnée à des hommes de conscience; dans le coeur de l'homme , il y a le désir de vivre mais aussi désir de vengeance reconnue par la loi, la loi du talion.
Exode, faim, soif, loi, conclusion de l'alliance, terre promise.
Le peuple est arrivé du sud par le Jourdain, stèle de Josué, bénédiction promise, passage de la loi à la bénédiction.
Il faut que quelqu'un organise la mise en application de la loi, monarchie qui ne marche pas parce que Dieu est là, le seul roi de l'univers.
Les Juges, genre de fédérateur, les 12 juges, Shamgar, réaffirmer les 12 tribus, l'histoire du buisson d'épines qui se propose comme roi.
Dieu concède un roi à Samuel ce qui va créer une tension entre lui et Dieu.
Dieu ne veut pas de roi, tension dans l'histoire d'Israël, Saül, David, Salomon.
Ier livre des rois, échecs royaux.
Travail de la question de la venue messianique.
Image d'une loi qui se mettrait dans le coeur et venue de l'Esprit saint.
La Loi, la royauté, le sacrifice, relations sponsales, différentes relations à Dieu, Ap. 21: la Jérusalem nouvelle.
Dieu veut manifester son alliance tout au long de l'histoire, le mariage en est la comparaison, le cantique des cantiques, Dieu qui vient à la recherche de l'homme.
Jr. 2 idée de fiançailles et de délaissement du peuple pour Dieu.
Osée, le prophète Osée doit prendre pour épouse une femme qui s'est prostituée, comparaison du peuple.
Mt 9,1 le Christ qui se montre comme l'époux.
Mt 22, parabole du roi qui fait un festin de noces pour son fils.
Les noces de Cana, Jésus est l'époux, il est celui qui apporte le bon vin, annonce de l'eucharistie, l'épouse est le peuple à qui Il se présente.
Importance de l'alliance, de l'action de Dieu qui va purifier le coeur de l'homme pour comprendre l'alliance.
Le sacrement est un signe efficace pour être en relation avec Dieu dans un rite, "efficace" cela se réalise, "Dieu dit et cela fut". L'efficacité dépend de ce que Dieu fait. Dieu nous précède toujours. La grâce dépend de nous, de notre disponibilité, et à travers, Dieu nous confirme son alliance, comme dans le sacrement du mariage, chemin pour que les époux se rendent saints comme le Christ est Saint.
Eucharistie, capable de me donner comme le Christ.
Nous sommes médiation l’un pour l’autre dans le mariage, le Christ nous fait confiance.

Dimanche 10 avril
Césarée maritime
Ac. Paul à l’aréopage : théologie naturelle : l’homme cherche Dieu à tâtons. Quand Paul évoque la croix, il se fait rejeter.
Ph. Paul est juif, pharisien, romain, fier de lui-même qui se retourne complètement dans sa conversion au Christ.
Paul naît vers l’an 9, en 24 en Jérusalem chez Gamaliel, grand pharisien, rage contre les Chrétiens puis converti. Mort vers 67 à Rome, chrétien pendant 30-35 ans.
Se donne le statut d’apôtre qui normalement est conféré par le C, il en a la conviction intérieure face aux autres.
Ga. 1, 15. Conscience de sa vocation dès sa conception, mis à part pour être prophète par Dieu (Jérémie, Amos) envoyé aux nations païennes.
Dans Luc et Actes notion de « rempli de l’Esprit Saint ». Thème de l’Esprit Saint donné à tous. Expansion de l’Esprit Saint est redoutable.
Mont Carmel : le prophétisme
Le prophète Elie sous le roi Achab, époux de Jézabel, adoratrice de Baal qui lui dresse un autel.
Elie appelé prophète dans I Rois 18. Il obéit à Dieu sans dévier pour dénoncer le roi Achab. Il convoque au Carmel les prêtres de Baal et montre que son Dieu est le vrai Dieu.
Les prophètes annoncent le Messie.
La basilique de l’Annonciation
Ce que dit l’ange à Marie : « comblée de grâce », le meilleur nom connu de Dieu, c’est l’être même d’être comblé de grâce.
Deux annonciations :
1) cet enfant qui lui sera né sera grand, c’est l’annonce de la naissance du Messie, faite tout à fait naturellement malgré une virginité consacrée et un mariage commencé.
2) Cet enfant sera le fils de Dieu par la puissance de l’Esprit Saint.
Il y a 1) création
         2) incarnation
Dieu devient, il se fait véritablement homme, de même qu’il n’y a pas d’incompatibilité pour nous de devenir Dieu pour trouver véritablement notre humanité.
Marie devient la femme, la mère par excellence ; devenir « servante du seigneur », c’est ce qui permet de trouver notre humanité, notre véritable dignité.

Visite chez les Clarisses. Soeur Joséphine : « sachez garder le sourire ».

Mardi 11 avril : lac de Tibériade
C’est en passant par des témoins que l’on peut croire en Jésus.
1ère période du ministère public du Christ depuis son baptême : d’abord il enseigne ses disciples, les gens par hasard, il fait des gestes de puissance, des miracles et constitue une petite communauté autour de lui pour se faire comprendre. 
Mont des Béatitudes
Luc 6 ; Matthieu 5.
Grand discours collecté par Matthieu, grand prologue avant le chapitre 5.
Introduction très solennelle : « quand il fut assis » : acte d’autorité. Le nouveau Moïse « ouvrant la bouche, il se mit à enseigner ».
Jésus est Dieu qui nous donne la véritable Loi.
La 9ème béatitude, la dernière qui va annoncer tout ce qui va se passer, en effet il est écrit :
"... Réjouissez-vous , soyez dans l'allégresse, car votre récompense sera grande dans les cieux..." .
La 1ère et la 8ème : « heureux les pauvres de coeur », « heureux les persécutés pour la justice », sont au présent dans leur conclusion : « le Royaume des cieux est à eux ».
Le Royaume, cette vie de Dieu nous est donnée déjà ici-bas, Dieu est avec nous, le Ciel est toujours présent, la paternité de Dieu est là, tjrs là.
Les autres béatitudes sont au futur, il y a un « passif divin », même s’il y a un futur, cela n’empêche pas que Dieu est présent. C’est bien pour ça qu’il faut être heureux.
Ce qui sauve, c’est la présence de Dieu, et non nos pauvretés.
Comme nous n’avons pas tout, nous pensons que nous n’avons rien, que Dieu n’est pas là. Tout n’est pas encore advenu, mais il y a déjà une partie qui est là.
On fait reposer notre joie sur ce chemin des Béatitudes, c’est parce que je sais que Dieu est dans ma pauvreté que je peux être heureux.
A travers les béatitudes, c’est le portrait du Christ, c’est le Christ qui parle de lui-même, de sa Joie.
Marie, dans le Magnificat, les vit et elle les vit en plénitude.
Descente sur le lac en silence et méditation de Matthieu 4, 23-25...
Au bord du lac : mémoire dans Jean 21, après la résurrection, triple question du Christ à Pierre (m’aimes-tu ?). Mission spécifique donnée à Pierre, la primauté de Pierre. Par la prédication, le Christ constitue un groupe pour le suivre, les disciples et les apôtres.
Jésus récapitule la totalité de l’histoire de l’AT, il est la Bénédiction de Dieu, toute l’Histoire et toute la Géographie, la puissance de Dieu est en Lui.
L’appel de Jésus est efficace. L’appel de Dieu rejoint tjrs un désir profond.
Ré-expérience de la fraternité : frères en Christ.
Marcher avec Jésus qui est sans cesse disponible.
Confrontation avec la Passion et la Résurrection.
La Pentecôte, capacité nouvelle qui leur est donnée malgré leurs limites. les douze vont être pris dans ce dynamisme à travers Pierre (expérience douloureuse avec la 3ème question (tu sais bien que je t’aime !) et institution de la primauté de Pierre (pais mes brebis).
Messe à Dalmanutha
Multiplication des pains, Jean 6, 1-15. Psaume 22 « le S. est mon berger ».
eau → baptême
table → eucharistie
parfum → confirmation
Nous avons besoin des autres sacrements pour parvenir à l’eucharistie : les sacrements d’initiation.
Comme après une naissance, on doit se nourrir.
Nécessité d’être guéri, réconciliation et onction des malades, sacrement du mariage et ordination, sacrement pour l’autre et non pour soi. L’eucharistie est le coeur de la vie chrétienne comme le coeur humain. Les sacrements se nourrissent les uns les autres.
Jean, multiplication des pains : par l’intermédiaire d’un petit enfant qui vient avec ce peu et nous aussi dans l’eucharistie, nous offrons notre peu de notre vie, tout ce qui est notre vie devient un pain de vie de même qu’en mangeant le corps du Christ nous devenons aussi pain de Vie.
Pendant la traversée : Matthieu 14, 22.
Jésus en marchant sur les eaux, montre qu’il est plus puissant que la mort. Pierre fait pareil mais il plonge, il crie vers le Christ. Par la foi nous communions à cette puissance de vie qu’il veut nous communiquer.
Capharnaüm
Dans le ministère public du Christ, formation des apôtres en Galilée par la parole, puis, à Jérusalem, il y a un tournant : il n’enseigne que l’eucharistie puis se tait et devient témoin.
Dans Matthieu 16, il y a l’annonce de la Passion et de la Résurrection, le mystère du Fils livré : enseignement sans parole. Institution de l’eucharistie et du ministère du sacerdoce pour que eux puissent retransmettre cette vie livrée du Christ.
Retour sur l’identité du C révélée à Simon Pierre et demande le silence sur cette révélation.
En suivant Jésus jusqu’au bout, il faut vivre cette expérience de la Passion, par opposition au désir de Pierre.
Les aveugles de Jéricho (Mt. 20, 29) qui deviennent les disciples de Jésus en ne le lâchant plus !
Dans la synagogue :
Jésus parle avec autorité, pas comme les scribes qui s’inscrivent, eux, dans une chaîne de tradition, en se référant à un maître. Jésus, lui, parle de l’intérieur des choses. Il dévoile progressivement sa messianité pour que l’homme saisisse de l’intérieur sa mission.
Guérison du possédé, du paralysé. Jésus guérit par la parole. C’est la parole du Christ qui diffuse le salut.
Le Jourdain
Nouveauté du rite baptismal de Jean-Baptiste par rapport à l’AT.
Quand Jésus passe par le Jourdain, il forme une nouvelle Israël avec ses disciples.

Mardi 12 avril
Jéricho
Luc, 19, 1-10.
Jésus prend l’initiative de s’adresser à Zachée. Il s’arrête devant le sycomore. C’est Jésus qui nous précède, qui nous appelle par notre prénom, c’est chaque personne qui fait l’humanité. C’est l’aujourd’hui de Dieu. Aujourd’hui le temps du salut. Dieu travaille dans le maintenant.
« Aujourd’hui, il faut que je demeure chez toi ». Chez Zachée, il y a une présence intérieure pour accueillir Jésus. Il n’y a que Dieu qui permet de nous mettre en relation les uns avec les autres.
Pour se confesser, on peut reprendre Paul, I Cor. 13, l’hymne à la charité.
Le sacrement de réconciliation permet d’être dans l’aujourd’hui de Dieu et permet d’expérimenter la miséricorde de Dieu.

Mercredi 13 avril
Bethléem, messe de Noël le matin dans le champ des bergers.
 Jérusalem, cité de David
Premier roi Saül, tribu du Nord, à Guilgal, pour entretenir l’unité des douze tribus.
Deuxième roi David, sacré roi de Juda pour les deux tribus du sud puis roi des dix tribus du nord. Il prend Jérusalem, malgré le défi lancé par ses habitants, pour qui la ville est impossible à prendre, au point que même un aveugle ou un boiteux peut la défendre. C'est une façon d'expliquer par un récit historique,  une interdiction cultuelle qui empêche les aveugles et les boiteux d'accéder au Temple. (2 Samuel 5, 6-9 : Le roi et ses hommes marchèrent sur Jérusalem contre le Jébusite qui habitait le pays. On dit à David : « Tu n'entreras ici qu'en écartant les aveugles et les boiteux. » C'était pour dire : « David n'entrera pas ici. » 7David s'empara de la forteresse de Sion — c'est la Cité de David. 8David dit ce jour-là : « Quiconque veut frapper le Jébusite doit atteindre le canal ! Quant aux boiteux et aux aveugles, ils dégoûtent David. » C'est pourquoi l'on dit : « Aveugle et boiteux n'entreront pas dans la Maison. » 9David s'installa dans la forteresse et il l'appela « Cité de David »). C'est Jésus qui les réintroduira au temple.
Piscine de Siloë : Caïn, le premier homme à construire une ville. Enoch, son fils, quand il séjourna dans le pays de Nod.
Le risque de la ville est l’autarcie et de se sauver soi-même. Exemple de Babel : les hommes veulent construire une tour jusqu’au ciel. Babylone, avec ses tours, ses murs. On a l’impression que Dieu est jaloux des hommes, alors que Dieu dit à la création « emplissez-la ». Les hommes font l’inverse. Au lieu d’être prêtres de Dieu, ils se font prêtres d’eux-mêmes : c’est la question de l’uniformité alors que Dieu a créé la diversité. A la Pentecôte, chacun entend les paroles des apôtres dans son propre langage.
Dans les Psaumes, tout homme est né à Jérusalem, ville-mère. Dans cette ville, Dieu a marché, a vécu et il est mort. On part de Jérusalem, on n’y reste pas. Jésus envoie ses apôtres parmi les nations. Jérusalem est là pour nous donner quelque chose.

Le père Nodet : « Ce qui est vrai n’est pas nécessairement exact » contrairement aux thèses positivistes.

Jeudi 14 avril
Piscine de Bethesba, Jean, 5. Guérison du paralytique.
38 ans au bord de la piscine à attendre / 38 ans d’exode ???
Guéri par Jésus comme le renouvellement de l’alliance en observant les commandements (« Lève-toi... »). Chaque fois qu’il y a un obstacle, Dieu donne la capacité de le dépasser, signe de la manifestation de la puissance de Dieu. Le paralytique revient au Temple : renouvellement de l’alliance.
Jésus travaille le jour du sabbat.
A proximité il y a des cultes païens (Esculape). Amos dénonce les cultes qui n’influencent pas la conduite extérieure, un manque de justice dans la vie ordinaire. Malachie 1, 6 : la qualité de l’offrande fait partie du culte. Travail intérieur pour offrir le culte , coeur brisé, coeur broyé : la véritable offrande.
Jésus va exprimer la pureté du coeur par sa propre offrande. Il ne supprime pas le rituel mais il l’accomplit.
Au Cénacle : lieu de mémoire d’après des traces du dernier repas à partir du IIème siècle. L’Eucharistie est le seul sacrement que le Christ a institué. « Il prit le pain... Faites ceci en mémoire de moi ». Marc 14, Matthieu 26, Luc 22, I Cor. 11.
En ce qui concerne la liturgie, le Christ laisse à son Eglise le soin de la mettre en oeuvre.
Episode du jeune homme qui tombe en écoutant Paul, meurt et est réanimé. Ac. 20.
Très tôt cette liturgie se met en place.
La Tradition est chargée d’interpréter les Ecritures. Jésus célèbre le seder du repas pascal. Paroles nouvelles lors de ce repas : « ceci est mon corps ». Ce repas est à chaque fois nouveau. Pour que le sacrifice soit vrai, il ne doit pas me couper des autres. Le sacrifice invite Dieu à nous rejoindre et nous à le rejoindre.
Messe à la chapelle des Franciscains. Jean, discours sur le pain de vie, 6, 22.
L’eucharistie est un sacrifice. Il n’y a que le Christ qui soit capable de se donner au Père et aux hommes. Le sacrifice n’est pas une privation, c’est un don de soi. Il y a lien entre l’eucharistie et l’envoi au monde. Par L’eucharistie, le Christ nous apprend à nous donner les uns aux autres pour que le monde ait la vie. La communion est pour sanctifier le nom de Dieu, pour rendre grâce en vérité, apprendre à donner du pain, à pardonner, pour être capables de devenir des enfants de Dieu. Prière eucharistique, vivante offrande à sa gloire.
Saint-Pierre-in-Gallicante. Les larmes de saint Pierre. L’escalier qu’a emprunté le Christ pour aller à Gethsémani. La volonté de l’homme, c’est de faire la volonté de Dieu.
La métaphore sacrificielle : la croix de Jésus, c’est un homme condamné, innocent, mais en soi pas porteur de salut. Comment entrer dans l’évènement, l’être même de la mort du Christ ?
Interprétation salutaire de la Croix par Paul, Rom. 3, 22-27 : « C'est la justice de Dieu par la foi en Jésus Christ pour tous ceux qui croient, car il n'y a pas de différence : tous ont péché, sont privés de la gloire de Dieu, mais sont gratuitement justifiés par sa grâce, en vertu de la délivrance accomplie en Jésus Christ. C'est lui que Dieu a destiné à servir d'expiation par son sang, par le moyen de la foi, pour montrer ce qu'était la justice, du fait qu'il avait laissé impunis les péchés d'autrefois, au temps de sa patience. Il montre donc sa justice dans le temps présent, afin d'être juste et de justifier celui qui vit de la foi en Jésus ». La mort du Christ couvre tous les sacrifices expiatoires.

Vendredi 15
Mont des oliviers, jardin de Gethsémani.
Pourquoi la Croix nous sauve ?
Prélude de la Passion en voyant deux aspects : les acteurs / la finalité de la Croix.
Avec les participants, ce que le Christ vit en quoi cela nous sauve ? Comment cet homme peut-il nous sauver aujourd’hui ?
Jésus se rend maître de la Loi, il annonce la destruction du Temple car il est le véritable Temple, d’où procès. Il prend des initiatives : il pardonne les péchés pendant le sabbat, il revendique le nom de Dieu, d’où l’arrestation par les autorités juives. Condamné par Anne, le grand prêtre et procès devant Pilate. Tous ont condamné le Christ, Dieu lui-même livre son Fils. Romains 8, 32. La mort n’est pas exclusivement donnée par les hommes mais voulue par Dieu. Dieu ne choisit pas un peuple parfait, Jésus vient dans un monde où l’amour, la vérité peuvent être refusés. Dieu vient dans ce monde tel qu’il est. Cf. prologue de Jean 1,10 « Il était dans le monde, et le monde fut par lui, et le monde ne l'a pas reconnu. » C’est dans ce monde-là que la Parole de Dieu vient. Jésus ne montre aucune trace de culpabilité, il est l’innocent, son silence est celui de la volonté du père, il s’abandonne à Lui. Il ne cherche pas à se défendre, Lui-même s’engage véritablement. « Ne fallait-il pas... dans les Ecritures ? » Un passif divin : la volonté du Père est de faire alliance avec les hommes. Il reste fidèle à cette alliance, Dieu ne s’arrête pas à la mort, le Christ « les aima jusqu’à la fin », Jean, 13, 1. Cette fidélité de Dieu va jusqu’à accepter l’infidélité de l’homme. Malgré celle-ci, Dieu aime cette humanité. Hébreux, 7, 8-9 : le Christ unique Grand Prêtre.
En quoi cet amour nous sauve ? Tout péché est offense en Dieu, est un manque d’amour. En lui, il n’y a pas le moindre soupçon de péché. Nécessité de passer par le Christ, unique Grand Prêtre. Sur la Croix, condamnation d’un innocent, acte d’amour envers le Père et tous les hommes. Le Père voit ce Mal enveloppé d’Amour. La Croix est le lieu de l’amour entre Dieu et les hommes par le Christ. Alliance accomplie. Pour être sauvé, il faut accepter d’être sauvé, il faut recevoir le Christ sauveur avec les sacrements. Il n’y a rien d’automatique. La foi c'est vouloir suivre le Christ. 
Notre-Dame de Sion
Jean, 19, 5 : ecce homo
Le mystère du Salut se concentre dans la Passion. Déclaration de Pilate : « voici l’homme ». Sa dignité est enlevée, on se moque de Lui, Il n’a plus rien. Le péché des grands prêtres, c’est le péché de tout homme. Mystère d’impiété.

Samedi 16
Abu Gosh / Emmaüs
Le pain (eucharistique) signifie Jésus vivant, en tant que le pain est la base de la nourriture humaine. Le poisson, lui, signifie Jésus ressuscité, il s'inscrit dans une vision eschatologique selon laquelle le Messie sera vainqueur du Mal, représenté par les monstres marins tel le Léviathan. Manger du poisson, c'est en quelque sorte manger le Léviathan vaincu.
Ce qui est arrivé à Jésus est ce qui était écrit dans les Ecritures. « Ne fallait-il pas... »
Les pèlerins partent d’Emmaüs, ville guerrière des zélotes et reviennent à Jérusalem, début de l’Eglise.
Messe : Trois temps ... dans le désordre !
1er temps : les deux disciples partent vers Emmaüs, le Christ les rejoint et devient l’exégète de l’Ecriture.
2ème temps : arrivés à un carrefour, ils s’arrêtent, Il partage le pain, ils Le reconnaissent, Il disparaît : nouveau mode de présence dans le partage du pain.
3ème temps : ils repartent à Jérusalem.
Les temps 1 et 3 sont à associer : évènements fugitifs vécus par les disciples ; Jésus apparaît puis disparaît.
Le temps 2 est le temps de la permanence, le temps de l’Eglise qui reconnaît cette présence dans l’eucharistie, présence qui l’envoie en mission.

Conclusion :
Sachons discerner ce que nous avons reçu pendant ce pèlerinage...
Pour quoi faire ?


 

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